Letra Medley 'meine Welt Ist Die Musik' de Mireille Mathieu original
in « Bonsoir Mireille » (1982) Meine Welt ist die Musik! Wer mich liebt, Liebt die Musik! Sie ist mein bester Freund, Immerzu, Allezeit! Und sie verl??t mich nie Teilt mit mir Freud’ und Leid! Wunderbar ist die Musik! Wunder wahr macht die Musik! Was w?r’ ich ohne sie, Sie allein bringt mir Gl?ck! Es wird nie anders sein Ich glaube, Meine Welt ist die Musik ! Nous avons jou? Notre vie ensemble Et puis un beau jour, Ta chance a tourn? : On ne finira pas La partie ensemble Et chacun s’en va, Seul, de son c?t?. Bravo, tu as gagn? ! Tu as gagn? ! Et moi, j’ai tout perdu, J’ai tout perdu ! On s’est tellement aim? : On s’est aim? ! On ne s’aime plus ! On n’aime plus ! Le temps qui court comme un fou, Aujourd’hui, voil? Qu’il s’arr?te sur nous Je te regarde et qui sait Si tu me vois ? Mais moi je ne vois que toi : Je suis une femme amoureuse Et je br?le d’envie de dresser autour de toi Les murs de ma vie. C’est mon droit de t’aimer Et de vouloir te garder Par-dessus tout ! Sur cette Terre, Ma seule joie, Mon seul bonheur, C’est mon homme. J’ai donn? tout ce que j’ai : Mon amour Et tout mon c?ur A mon homme. Et m?me la nuit, Quand je r?ve, C’est de lui : De mon homme. Ce n’est pas qu’il soit beau, Qu’il soit riche, ni costaud, Mais je l’aime. C’est idiot : Il m’fout des coups, Il m’prend mes sous. Je suis ? bout, Mais malgr? tout, Que voulez-vous ? Je l’ai tellement dans la peau, J’en suis marteau, Quand il s’approche, c’est fini, Je suis ? lui. Quand ses yeux sur moi se posent, Ca m’rend toute chose. Je l’ai tellement dans la peau, Qu’au moindre mot, Il m’ferait faire n’importe quoi : Je tuerai ma foi. J’sens qu’il me rendrait inf?me Mais je ne suis qu’une femme ! Je l’ai tellement dans la peau, J’en suis dingo, Que celle qui n’a pas aussi Connu ceci Ose venir la premi?re M’jeter la pierre ! En avoir un dans la peau, C’est le pire des maux, Mais c’est conna?tre l’amour Sous son vrai jour. Et j’dis qu’il faut Qu’on pardonne Quand une femme se donne A l’homme qu’elle a dans la peau. In den Bergen von Mexiko, Santa Maria, Kniet ein M?dchen vor deinem Bild, Santa Maria, Denn Antonio zog fort in die Stadt, Weit in den Norden. Und kein Gru? kam, kein Brief was je Aus ihm geworden. La? ein Wunder geschehen, Santa Maria, Klingen nachts ihre Lieder Fern zu den Sternen empor, Ich will ihn wiedersehen, Santa Maria, Bring’ den Einen mir wieder, Den ich einst verlor. Entrez, entrez, mesdames, messieurs ! C’est le Grand Th??tre de Paris ! Komm, gib mir deine Hand Es wird erst interessant, Das Leben Hinter den Kulissen von Paris, Denn dort ist wahre Paradies Und ewig flie?t die Seine Und ewig ist l’amour So wird es immer bleiben, Tag ein, Tag aus, toujours. La la la, la la la la, la la la la la la.